Umineko no Naku Koro ni

Umineko no Naku Koro ni tente le Cluedo version anime. Est-ce que le jeu en vaut la chandelle?

Umineko no Naku Koro ni est le troisième de la série des no Naku Koro ni après Higurashi no Naku Koro Ni et Higurashi no Naku Koro Ni Kai. Tous trois sont l’œuvre de 07th Expansion et nous plongent dans des univers macabre mélangeant mystique et réalité.

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On dirait qu'un soin particulier a été apporté pour ne plus ressembler à ça.

Une île reculée en 1986, dix-huit personnes, un héritage, une mystérieuse histoire de sorcière, un temple qui a disparu et pas encore de meurtre… Et oui rien ne s’est encore passé dans ce premier épisode. On découvre juste énormément de personnage et qu’ils ont tout un tas de mobile pour commettre des meurtres entre eux. On peut juste juger de l’ambiance à la fois sombre et lourde qui se dégage autour des adultes mais aussi joviale et insouciante avec les plus jeunes.

Restons sur les personnages avec le narrateur et personnage principal.

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Battler: un petit rigolo en costume et cheveux rouge. C’est aussi un pervers et il ne s’en cache pas.

Umineko no Naku Koro ni

Shannon est la maid de service.

Maria, la plus jeune, ne fait pas des Nipah comme Rika dans Higurashi mais des Huuu. Battler la décrit comme innocente et mignonne mais elle semble avoir un autre côté qui l’est moins.

Je suis d'accord

Je suis d'accord avec elle.

Il y a bien d’autre personnages dont les membres de la famille et les domestiques mais pour le moment ils n’ont rien fait de notable. La question se pose de savoir si le chara-design est bien adapté à une histoire se déroulant en 1986.

L’opening surprend par ses cœurs d’opéra. Je lui trouve aussi un je ne sais quoi de ressemblance avec les opening des Higurashi sur le refrain.

Umineko no Naku Koro ni

Objection!

Visuellement on sent la violence à travers les plans rouges tremblant et la tempête. On retrouve aussi un peu de calme et de mystique qui sont les bases de l’ambiance de la franchise. Katayoku no Tori de Shikata Akiko risque donc de se faire une bonne place avec ses sonorités orientales et occidentales.

Du metal avec les cœurs d’opéra puis un pépé satanique au micro résume assez bien l’ending. la divina tragedia ~Makyoku~ de Jimang est donc un mélange un peu surprenant.

Je pense qu’il va falloir s’attendre à plusieurs arc vu le chapitrage des épisodes, le premier étant le I-I et le second le I-II.

Le premier épisode ne permet donc pas de juger pleinement ce que sera Umineko no Naku Koro ni mais laisse entrevoir quelque chose de prometteur. Affaire à suivre…

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