Sengoku Basara

Une page de l’histoire de l’époque Sengoku se tourne avec la fin de Sengoku basara. Are you ready guys? Put your Guns on!

Pour plus d’information sur la licence Sengoku Basara je vous conseil mon Premier contact.

L’histoire est celle de plus ou moins tous les scénario qui se passe à cette époque. Une multitude de petits seigneurs se font la guerre pour la domination du Japon. Oda Nobunaga, l’un d’entre eux, finit par prendre un ascendant sur ses adversaires grâce à ses stratégies fourbes et traitres. Son seul but est de tout dominer par le chaos et la dévastation. Face à un tel ennemi certain font le choix de s’unir dans une campagne qui décidera du sort du pays entier.

Sengoku Basara

L’un des point fort de Sengoku Basara sont ses personnages haut en couleur. Ils différent tous par leur chara-design qui met en avant leur clan par une couleur propre à chacun. Je pourrais m’attarder sur chaque héros tant leur chara-design est original mais je vais me contenter de ceux qui m’ont le plus marqué.

L’histoire s’attarde plus sur le clan Takeda composé de Takeda Shingen, Sanada Yukimura et Sarutobi Sasuke. Malgré leurs fonctions ces trois là sont complètement barrés avec les deux premiers qui se frappe tout sourire sous le regard perplexe du dernier. La tenu rouge de Takeda Shingen est remarquable avec un mélange de tigre, de lion et de bouc qui caractérise plutôt bien le personnage. Sanada quand à lui manie deux lances simultanément ce qui lui donne un sacré style.

Sengoku Basara

Enfin Sasuke est pour moi le meilleur personnage de Sengoku Basara. J’adore sa tenu à mi-chemin entre le ninja et le commando. Ajoutons à ça un détachement de toutes les situations et un amour à sens unique pour la Kunoïchi du camp adverse et on obtient un régal à chaque apparition.

Sengoku Basara

Parlons justement du camp adverse dirigé par Uesugi Kenshin. Ce beau parleur m’a agacé du début à la fin déjà parce qu’il ressemble à une sorte de Casshern ridicule et ensuite car il n’arrête pas de faire le beau gosse devant sa lieutenante complètement sous son charme.

Sengoku Basara

Lieutenante Kunoïchi qu’est Kasuga. Ses querelles avec Sasuke et sa tenu sexy la hisse dans le haut du panier. Tsundere quand tu nous tiens…

Sengoku Basara

Ensuite vient Date Masamune avec sa technique lui permettant de manier six katana en même tant. Ce qui le rend hilarant en plus de sa façon de chevaucher sont ses expressions à l’américaines du genre « Let’s party! » ou son « Put your guns on! » devenu célèbre sur le net.

Sengoku Basara

Maintenant arrive le personnage kawaii de cette guerre en la personne de Oichi. Elle est un peu deux de tension (moins que dans le jeu) et peu combative (beaucoup moins que dans le jeu). Complètement soumise à son frère Oda Nobunaga après la mort de son Nagamasa-sama adoré, elle porte presque à elle toute seule le tragique de l’anime.

Sengoku Basara

J’ai gardé le meilleur pour la fin, le plus fort des guerriers, Honda Tadakatsu. Ici il devient une véritable parodie de la série Gundam en allant même jusqu’à une scène de décollage ressemblant trait pour trait aux catapultage des mecha.

Sengoku Basara

L’autre point fort de l’anime est son univers « époque Sengoku/fun ». Je m’explique: dans Sengoku Basara il est courant de voir certain se prendrent pour une bande de motards sur leur chevaux qu’ils tune. Ils vont même jusqu’à souffler dans un cor pour imiter le bruit de moto (pour ceux qui ne voient pas le problème je rappel que le moteur à explosion a été créé 600 ans plus tard). Nou Hime est capable de sortir une gatling et un lance torpilles souterraines de dessous sa jupe. La force des héros est démentiel a tel point qu’ils peuvent pulvériser une trentaine de soldats d’un simple mouvement du bras. Les bataille perdent donc toute logique avec un homme nettoyant un champs de bataille qui se repeuple immédiatement pour les besoin de l’histoire.

Sengoku Basara

C’est plutôt déroutant au début pour les personne comme moi qui s’attende a voir un monde réaliste et les bataille ou la tactique joue un grand rôle mais une fois qu’on a déconnecté les neurones et qu’on accepte qu’un coup de hache crée des tornades sur le champ de bataille on éprouve un certain plaisir à voir les héros tout faire exploser dans une myriade d’effets spéciaux.

Sengoku Basara

Graphiquement justement l’anime est très beau. On alterne constamment entre des lieux ensoleillé et paradisiaque et d’autre sombre et glauque. Rien à redire au niveau des personnages. Les effet spéciaux sont très marquant avec des couleurs vives, des tornades et des explosions à chaque épisode.

Coté musique on a droit à un opening de Abingdon Boys School: JAP. Très explosif et rythmé, il colle parfaitement à l’esprit de la série.  Abingdon Boys School a d’ailleurs fait les opening des jeux. Visuellement cependant je trouve que la synchronisation entre l’image et le son n’est pas ce qu’il y a de mieux et j’ai l’impression que l’image part en live quand Masamune commence a trancher à tout va. Mais ceci est rattrapé par l’armée de soldat dansant sur la musique.

Sengoku Basara

L’ending Break & Peace de Dustz est quand à lui posé. Il donne un ton plus sérieux et grave aux fins d’épisode. Les plans fixes sont très beaux mais reste tout de même des plans fixes.

Sengoku Basara

L’O.S.T. n’est pas en reste et certain thème ce démarque comme BLAZE ~Crimson Lotus~ qui rappel à lui tout seul le coté chevaleresque et grandiose de certaines scènes.

Sengoku Basara

En résumé Sengoku Basara est une excellente adaptation complètement survolté et caricatural mais qui a tout de même sa petite dose d’émotion. La seule déception que j’éprouve est que Nagamasa Asai n’ait pas fait ses pose de sentai comme dans le jeu.

Sengoku Basara

Pour les fans sachez qu’un treizième épisode se trouvera dans le dernier DVD prévu pour Janvier et qu’une seconde saison pour 2010 est déjà annoncée. Je me demande un peu quel à quel genre d’intrigue on aura droit après la fin tragique d’un certain nombre de personnages dans cette première saison mais je ne serais pas pour autant surpris d’en revoir quelque uns pour mon plus grand plaisir.

Sengoku Basara

Depuis quand les ninja sauvent-ils les mort?

5 réponses à “Review: Sengoku Basara”
  1. Aer dit :

    Le jeu ? Samurai Warriors ? Si c’est ça, ça promet de la grosse lourdeur bien conne comme je les aime té.

  2. kyouray dit :

    Honda Tadakatsu a même un drill façon Gurren Lagann !
    Sinon bien résumé, Sengoku Basara est une série survoltée mais dont le déroulement confus et le nombre de personnages peut dérouter, choses qu’on doit laisser de côté pour bien apprécier le côté déjanté et l’animation de qualité.

  3. Alioth dit :

    Aer > Samurai Warriors est le jeu sur le quel Sengoku Basara a tout repompé, le côté survolté et délirant en moins. En France la licence s’appelle Devil King ;)

  4. Zhou-tai-27 dit :

    sangoku basara et completement diféren de samurai warriors et pourtan c aussi une grosse turi !!!!!

  5. eva dit :

    tu as bien résumé le manga ce qui est assez rare. Pour les commentaires je suis totalement d’accord avec toi. Je trouve ce manga super!

  6.