Shoryuken à la pelle pour victoire écrasante.

Il y a un an arrive Street Fighter IV. Ce retour de la saga connu de tous à remis au premier plan les jeux de combat et plus particulièrement ceux avec un gameplay 2D. Cependant on ne parle pas de 2D intégrale puisque Street Fighter IV tente la 3D pour ses environnements ainsi que ses combattants. Suite à son succès retentissant Capcom nous sort aujourd’hui son successeur: Super Street Fighter IV. Après un certain nombre d’heures passer à y jouer sur ma XBox 360 voila mes impressions.

Commençons par le contenu. Super Street Fighter IV en quelques chiffre c’est 35 combattants jouables, autant de scénarios, 22 arènes et un thème musical par personnage et par niveau soit  grosso modo une soixantaine thèmes.

La version Super introduit, et c’est la principale innovation, 10 nouveaux personnages venant pour la plupart des Street Fighter des générations de consoles précédentes.

Parmi ces vieux de la vieille Ibuki est pour moi celle qui se démarque le plus. C’est une jeune ninja acrobatique et utilisant son ki et des kunai en combat. Son dash (deux fois avant) la fait plus avancer que la moyenne ce qui en fait une combattante très rapide et agile. Les deux personnages réellement nouveaux sont le bronzé Hakan et la féline Juri.



Pour le premier, plus que son style de combat à base d’huile et de glissade, c’est surtout le contraste entre lui et sa femme que je retient. En terme de gameplay Hakan nous permet de nous essayer à un version un peu loufoque de la lutte turc. Il est donc fréquent de se verser un tonneau d’huile sur la tête afin d’améliorer nos capacités.

Juri quand à elle est le personnage le plus vendeur de la série. Son chara-design est sexy et agressif (l’araignée dans son dos est-elle un clin d’œil à Spiderman?), ses mouvements de Taekwondo sont impressionnants, les personnages bad guy comme elle sont à la mode en se moment et, cerise sur le gâteau, ses attaques spéciales comptent parmi les plus faciles à réaliser du jeu. C’est le personnage que j’aime le plus utiliser.

Parlons justement du gameplay. Ce jeu est extrêmement exigeant et il faut rajouter qu’une manette  Xbox 360 n’y est pas vraiment adapter. Je ne compte plus combien de fois un combat s’est perdu car le coup qui m’aurait fait gagné n’est pas partie. Un stick arcade améliore quelque peut les choses mais c’est un investissement que tout le monde ne peut pas se permettre. Surtout que ce n’est pas ce stick qui va vous permettre de accomplir les techniques qui vous paraissez déjà irréalisable avec la manette.

Encore un autre exemple de l’exigence du jeu: compter sur la chance pour placer les Super et les Ultra (les attaques ultimes locales) est complètement inutile puisque qu’il suffit à l’adversaire de reculer pour les bloquer. Il faut donc réussir à les faire terminer des combots ce qui n’est pas une mince affaire. Cependant un effort a été fait par rapport à la version précédente avec l’apparition d’un deuxième Ultra pour chaque combattant qui généralement est plus simple que le premier quand celui-ci est complexe à réaliser manette à la main.

Pour ce qui est des arènes on peut compter entre autre dans Super Street Fighter IV un stage qui met en scène une éclipse dans la nature Africaine et un autre se situant au cœur d’un chantier d’immeuble. C’est deux lieux comptent parmi les plus agréables du jeu bien qu’aucun environnement n’a d’incidence sur le déroulement des duels.

Coté musique la majorité des thèmes proviennent de Street Fighter IV. On retrouve donc tous les remix hérités de chaque personnage que l’on connait déjà mais aussi ceux des 10 nouveaux. Celui d’Ibuki est pour moi le seul échec de ces remix: il est bien trop lent pour un jeu aussi énergique. La réussite musicale se trouve au niveau de la vrai nouvelle, Juri, avec un thème qui fait monter la tension et qui colle bien évidement à son personnage haut en couleurs.

Pour ce qui est du jeu en solo c’est le mode arcade qui permet évidement de suivre l’histoire individuelle de chacun des 35 personnages. Un scénario par personnage est le minimum attendu pour un jeu de ce type mais ici on reçoit le retour de bâton de cette exigence: on se noie dans une abondance de contenus inintéressants. Et oui les histoires et les motivations sont pour la plupart platoniques et se limite trop souvent à « je veux être le plus fort du monde ». La faute revient à une construction du type « tout le monde atteint son objectif » plutôt qu’à une trame unique où chacun participe à un grand dessein. On se retrouve donc avec 35 personnes qui remportent le tournoi, 35 obtenant le titre du « plus fort du monde », tout les méchants qui finissent par dominer le monde et d’autres paradoxes du même genre.

La narration se fait uniquement grâce à une vidéo à base de plans fixes au début et une vidéo d’animation de qualité moyenne à la fin de l’arcade de chaque combattant. Rien de consistant n’est donc là pour donner au joueur l’envi d’accomplir le dure et surtout long labeur qui est de terminer les 35 scénarios. Ici encore, un gros équilibrage de la difficulté a été effectuer sur cette partie du jeu. En effet le mode normal de Street Fighter IV était d’une difficulté rédhibitoire alors que celui de Super Street Fighter IV est réalisable avec un peu d’entrainement sur un personnage. Mais il n’est tout de même pas rare de devoir descendre au niveau facile voir très facile suivant notre maîtrise des différents protagonistes.

Les solitaires pourrons aussi essayer de se frotter aux Défies. Ces petites épreuves demandent aux joueurs de réaliser des combots qui deviennent très rapidement quasi-impossible, même avec l’aide d’un stick arcade. Encore un dur labeur dont l’intérêt est très relatif.

Le but réel pour ce jeu, comme pour la majorité des jeu de baston, est le multi. Le Versus en local est tout ce qu’il y a de plus classique mais un effort a été fait pour ce qui est du Live avec des modes moins courants qui sont les matchs classés, le combat infinie où jusqu’à 8 joueurs s’affronte à tour de rôle suivant la règle du « je prend le gagnant » et enfin le team battle. Il faut aussi noter la présence d’un mode replay très bien pensé qui permet de voir les combats d’autre joueurs selon un classement par personnage. Mais ici aussi il y a un gros défaut, du moins pour les débutants. La mentalité sur le Live est très compétitive, ça ne joue que pour la gagne, voire même à la limite de l’anti-jeu. La faute ici à un système de point pénalisant beaucoup les défaite. Les débutants se font alors laminer par une armé de joueurs sans scrupule se contentant de lancer leurs boules de feu d’une distance leur garantissant une victoire sans risque. Tout ça juste pour quelques points que les pauvres débutants n’arrivent que très rarement à obtenir. Quel amateur de jeux de combat peut apprécier ce genre de match à sens unique? Tout ceci entraine un cercle vicieux puisque ceux se faisant systématiquement écraser délaisse le Live, voir le jeu quand on prend en compte l’intérêt du solo, ce qui augmente le pourcentage de joueurs de haut niveau et donc les chances de se faire laminer. Le niveau du multi est donc très élevé ce qui est malgré tout pour compétiteurs dans l’âme une bonne chose.

Enfin pour ce qui est des chasseurs de Succès ils auront de quoi pleurer des larmes de sang tellement ils sont longs et difficiles. Actuellement la moyenne sur Xbox 360 est à 193 G sur les 1000 possible.

Mon avis sur Super Street Fighter IV, en temps qu’amateur et débutant, est donc un solo moyennement intéressant et un multi pas assez ouvert aux nouveaux venu et globalement une difficulté très décourageante. Mais tout n’est pas négatif puisque le jeu offre une réalisation artistique de haut vol: un design unique, des thèmes musicaux de qualité et en nombre ainsi que des animations irréprochables. Voilà ce qui peut toucher le joueur lamba au contraire du multi qui ne sera pour lui qu’une source de frustration. Enfin le dernier point fort du jeu est son prix avec seulement 40€ pour un tel niveau de gameplay et de contenu. Super Street Fighter IV est donc aussi bon qu’il pèche par des tares qui peuvent rapidement faire décrocher. Je suis un peu en opposition avec la majorité des critiques mais je me vois mal donner un avis uniquement positif sur un jeu de combat où l’on arrive pas à sortir ses coups et à la difficulté typiquement japonaise. Qui plus est je n’éprouve pas le même plaisir à jouer en ligne que celui que je peux éprouver sur un Soul Calibur IV où je trouve les duels plus sportifs et plus stratégiques.

14 réponses à “Review: Super Street Fighter IV”
  1. jonas dit :

    Je ne trouve pas SSFIV si compliqué que ça. Si tu t’entraînes sur les défis tu pourras maîtriser les combo de base de ton personnage et commencer à rosser du malotru sur le live. Tu te plains que les mecs jouent pour gagner à tout prix, mais c’est ça qui fait la beauté de ce jeu. Aucune technique n’est imparable et l’intérêt du jeu c’est de trouver le moyen de contrer celle du joueur adverse.

    Pour ce qui est du contenu solo, bah c’est pas vraiment l’essentiel dans un jeu de tape, ce genre étant LE genre compétitif par excellence. Mais si vraiment tu veux un jeu avec un scénario intéressant, du pixel art de qualité et de nombreux modes solo, je ne peux que te conseiller d’attendre le très bon BlazBlue Continuum Shift.

    Enfin pour t’aider à mieux cerner les subtilités du gameplay, il y a le site du fameux Ken Bogard:
    http://kenbogard.fr/
    Ce monsieur commente des vidéos de joueurs pro japonais, expliquant de manière claire et simple de nombreux points techniques du jeu.

  2. Alioth dit :

    Je ne me plains pas vraiment que les mecs jouent pour gagner. C’est le principe de base de la compétition au quel il faut adhérer pour jouer en ligne. Par contre je n’adhère pas du tout à l’anti-jeu. Pour te donner un exemple pas plus tard que cet après-midi je suis tombé sur un mec qui avait mis un round et 40 sec de temps, stratégie classique pour gagner par surprise en time up. Bon, je l’ai battu mais entre ça et les mecs qui enchaine les boules de feu et t’envoie un uppercut quand tu te rapproche je ne vois pas où est l’intérêt pour chacun des deux joueurs.

    Pour ce qui est de BlazBlue ça fait depuis sa sortie au Japon que je mis intéresse j’y ai jouer et mon exemplaire doit actuellement se trouver quelque part sur un bateau entre la France et l’Angleterre. Faut dire aussi que j’ai passer pas mal de temps sur les Guilty Gear ^^

    Mais puisque tu en parles, si on compare le maniement de SSFIV à celui de BlazBlue c’est le second qui arrive facilement en tête grâce à ses raccourcis sur le joystick droit. Comme ça il n’y a pas de quart de cercle qui passe mal.

    Je te remercie pour le lien vers Ken Bogard que j’ai déjà vu lors du test d’un stick arcade sur jeuxvideo.fr. Je vais m’intéresser de près à ce site ;)

  3. jonas dit :

    Pour éviter ces mecs y a pas de secret, tu vas sur un forum de jeux de baston (genre ceux de console-league ou de neo-arcadia) et tu prends les gamertag des mecs de là bas, ils se feront un plaisir de jouer avec un nouvel adversaire. En plus comme ces mecs savent en général pas trop mal jouer, tu vas progresser avec eux.

  4. Tama dit :

    Le truc avec les jeux de baston, c’est de ne pas se laisser impressionner par la masse d’informations à digérer. Il faut commencer par les bases des bases, sans se presser, tranquillou. Prenons par exemple Ryu, le grand maitre du karaté (c’est pas moi qui l’ai inventé…). Quand on commence, on a tout simplement :

    - Medium Kick accroupi, suivi d’un Hadoken
    - Attaque Focus
    - Shoryuken Faible suivi du Metsu Hadoken
    - Hard Punch accroupi
    - avant+Medium Punch pour casser les gardes basses

    Et on va pas plus loin ! Après, quand tu te sens plus à l’aise, tu peux attaquer les phases plus complexes, mais en attendant, on se contente des bases, en travaillant les distances en se positionnant toujours de manière à être à distance idéale de l’adversaire.
    Après, si tu veux éviter les joueurs qui jouent pour la gagne, évite les parties avec classement, et pars en combat infini, si possible avec des potes qui ont le jeu, c’est beaucoup, beaucoup plus convivial !

  5. Alioth dit :

    Merci pour ces conseils. J’en ai déjà suivi quelque uns, par exemple comme mes amis ne jouent pas à SSFIV j’ai rejoint un petit groupe d’une trentaine de joueurs sur le forum de Jeuxvideo.com. Au bout de trois semaines moins d’une dizaine joue encore à SSF comme quoi le jeux fait très vite décrocher. C’est vrai que le jeu devient plus convivial quand on lutte face à un adversaire de son niveau plutôt que de lutter pour ne pas se prendre un perfect ^^

    @ Tama: c’est vrai que y aller par pallier pourrait être une solution, je vais la tester. Mais quand je vois Shoryuken Faible suivi du Metsu Hadoken je me dis que tout n’est pas si simple. Je suis loin des 100% de réussite dans la réalisation des techniques à base de double quart de cercle alors si en plus il faut les amorcer avec d’autres coups je vais avoir du mal. Après c’est peu être tout simplement moi qui suis complètement nul à SSF mais comme c’est loin d’être mon premier jeu et qu’en temps normal je me débrouille je suis persuader que beaucoup doivent encore avoir encore plus de mal que moi.

    Je reviens aussi sur le premier commentaire de Jonas à propos du solo. Pour quelqu’un comme moi dont la passion est les manga et les jeuxvideo le point commun entre tout cela sont les histoires. Un jeu sans histoire c’est un peu un jeu sans âme. Je ne doit pas être le seul à le penser puisque la première question d’un ami quand je lui ai parlé de SSF était « c’est quoi l’histoire? ». BlazBlue a un scénario comme tu le dis et je me rappel que Soul Calibur III un mode histoire très prenant comme quoi un scénario et plus plus non négligeable pour un jeu de ce genre. Et puis dernier détails: il ne faut pas oublier que beaucoup n’ont pas le XBox Live et que pour eux la qualité du solo est primordiale.

  6. Tama dit :

    Et pourtant, la série des Street est une des plus accessibles. Parce qu’on dit « Blazblue » par ci, « Blazblue » par-là, mais c’est du Ark System, tout à base de combos, et le moindre pas online équivaut à se faire ouvrir en deux pour servir d’entrée aux monstres qui errent sur le net.

    Après, peut-être que tu joues avec le pad (PS3 ?) d’origine, auquel cas il est normal que tu aies des difficultés notamment avec les doubles quarts de tour. Avant de prendre mon Fightpad, j’avais tendance à faire un EX-Shoryuken une fois sur deux, ce qui me faisait enrager sévèrement.

    Plus généralement au sujet de l’histoire, la storyline de SF à toujours été un embrouillamini de reborns intempestifs, de raisons de se battre fumeuses (« je me bats pour montrer que mon huile est la meilleure ! » WTF ???) et de personnages qui sont là juste parce qu’on a besoin de gens qui font marrer (hein, Dan ?). Ceci dit, certains persos, notamment ceux reliés aux S.I.N, donc Juri, Chun-Li, Guile, Cammy, Cody, Guy, etc, sont intéressants. Mais rien à voir avec Blazblue qui, sur ce point, se rapproche pas mal du visual novel. Sans rire, la première image du tout début du jeu m’a fait demander si je ne jouais pas à Tsukihime…

  7. Alioth dit :

    Je n’ai fait qu’une partie en ligne sur BlazBlue et elle laggait méchamment donc je ne peux pas en dire beaucoup plus sur ce sujet pour le moment. Mais si justement c’est le cas le jeu a toujours un intérêt grâce son solo. Et ce n’est pas rare sur SSF de tomber sur des mecs qui ne laisse pas le temps d’en placer une.

    Je joue sur 360 et je me suis acheter un stick arcade bas de gamme (j’allais pas me prendre un TE à 150€ pour un jeu où je galère).

    Tsukihime a donner naissance à Melty Blood, un autre jeu de baston avec un vrai scénario ^^

  8. Ado dit :

    Pas d’accord pour Melty Blood, celui ci s’appuie sur la base de Tsukihime et n’est qu’un doujin fanservice qui dépend toujours du principe majeur des jeux de baston qui est le what-if pour chaque personnage. On enlève Tsukihime et il ne reste que le gameplay, alors que pour le « scenar » de SF Vanilla il y avait une tentative de cohésion avec tous les personnages.

  9. jonas dit :

    Nan mais franchement le scénario de SFIV se passe de commentaire. Bourré d’incohérence avec les opus précédents, et pas génial, mais bon osef c’est pas pour ça qu’on achète un street.
    :3.3 fanboi:

  10. Méta dit :

    J’avais hésité à me procurer ce jeu mais du coup, je vais m’abstenir et rester fidèle au bon « vieux » Soul Calibur IV. Vu qu’on a aimé tout pareil, pas la peine de tenter le diable avec SF IV :)

  11. Alioth dit :

    Effectivement si tu es un fan comme moi de SoulCa tu risque de souffrir méchamment sur les SF IV.

    Mais à quand un Soul Calibur V?

    Avec le retour en force des jeux de baston Namco Bandai pourrait se dire que c’est le moment de relancer la licence. En plus c’est pas comme si il y avait tout à refaire : même après 2 ans Soul Calibur IV est toujours le plus beau jeu de baston réalisé à ce jour. Il ne reste plus que cette licence puisque Dead Or Alive est complétement Dead maintenant (Tekken ne compte même pas).

  12. Wakadidjou dit :

    Bien !

    Tu fait un article sur SSF4 pour ensuite parler et limite venter Soul calibure :)

    Effectivement « Street figter IV & SSF4″ demande beaucoup de timing de dash et de focus cancel to ultra (=D) , et ça, pas forcément accessible qu’au pro. Tu devrais y arriver, si j’y arrive.

    Personnellement je fais ce genre de combo à la manette (avec la croix à l’ancienne). Tout le monde vent le pad, que je ne trouve pas assez précis.

  13. Alioth dit :

    Ce n’est pas que je n’y arrive pas mais plutôt que je n’y arrive pas aussi souvent que je veux d’où la frustration.

    En ce moment je joue à Blazblue, donc un jeu du même genre, et c’est le jour et la nuit. J’ai l’impression que le dash qui y joue pour beaucoup : dans SSF4 on ne fait que quelques pas ce qui rend difficile les approches alors que dans Blazblue le personnage a une vrai course, c’est plus fluide, plus rapide.

    Et au final c’est ce que je veux, un jeu fun. J’ai pas envi de m’entrainer 4 ans pour faire un focus cancel to ultra. Je ne dis pas cela car je ne suis pas capable des réaliser des combos complexes (mes succès Activer protocole de destruction et Plus de 10 000 ! peuvent par exemple le prouver sur Blazblue) mais réellement parce que ce n’est pas ma façon d’apprécier un jeu.

    Le pire c’est que maintenant je suis en train de me demander si je doit me laisser tenter par Marvel Vs Capcom quand il sortira ^^

    « Personnellement je fais ce genre de combo à la manette (avec la croix à l’ancienne). Tout le monde vent le pad, que je ne trouve pas assez précis. »

    Tu dois jouer sur PS3 je pense car niveau précision pour SSF4 la manette XBox est un vrai calvaire :)

    « Tu fait un article sur SSF4 pour ensuite parler et limite venter Soul calibure :)  »

    Mais SoulCa est le jeu de baston ultime, il faut le venter perpétuellement XD

  14. Wakadidjou dit :

    Nice :P

    Effectivement je joue a a la manette PS1 (non j’sui pas pauvre ! :@)

    En fait pour m’amuser je joue à la manette, mais je me sui rendu compte en regardant autour de moi que pour RoxEr’Du’Boudin il falais limite obligatoirement un sticks arcade. Très ennuyeux pour moi petit joueur de SF fan de ma manette.

    Litéralement on fait que ce l’on aime avec ce que l’on a comme l’on veu t’en que l’on s’amuse. Après pour la compétition c’est autre chose, l’a effectivement faut lacher du lourd pour la série Street figter 4 (Et pire encor son p’ti frère th3).

    Du coup, je sui en accord avec toi pour dire que SF4 n’accord pas beaucoup de joie au personne qui veulent fair des Hits comboX50 facilement. Mais par contre, Street fighter est un mythe et mérite très largement d’ètre aprécié !

    J’y joue tout les jours avec des amis ! Et c’est nice !
    On voie le progret que l’on fait au fur et à mesure des parties. Le positionement stratégique, la prédiction du mouvement adverse, les contres. les combos super les ultra ! ect ect …

    « Mais SoulCa est le jeu de baston ultime, il faut le venter perpétuellement XD »
    On va dire que Soul blade étais bien ! Mais que Soul calibure c’est le même mais avec yoda ou Hitachi. Le pire pour ma par c’est les tekkens, avec une sortie de 6 fois le même Opus ! (Rien a voir avec le sujet mais bon)

    bisous :)

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